Grands parcs du Washington
MONT RAINIER** (Parc national)
Ce volcan endormi de 4 380 m d’altitude est le plus haut sommet de la chaîne des Cascades et le second sommet des Etats-Unis (Alaska mis à part). Mais son attrait ne se limite pas à ses pics enneigés ; le parc qui le protège comprend 980 km² de merveilles naturelles : 25 glaciers, 34 grandes chutes d’eau, une soixantaine de lacs, des forêts magnifiques, des champs de neige et une faune sauvage abondante. Phare du Nord-Ouest, on le voit, par temps clair, de Seattle et de la péninsule Olympic.
Visite du Mount Rainier National Park
- carte-du-Mont-Rainier
Outre les points de vue variés du volcan, la visite du parc comprend celle des glaciers et de lacs, eux-mêmes créés par des glaciers. 190 km de route à l’intérieur du parc contournent le volcan et permettent d’accéder à deux points de vue magnifiques : Sunrise et Paradise.
Depuis Seattle, à 2 heures de route, le circuit classique organisé prend une longue journée, mais on aimera passer la nuit dans le parc pour avoir le temps d’effectuer quelques petites ou grandes randonnées sur la Wonderland Trail, qui fait en 150 km le tour de la montagne. Il y a en tout 500 km de sentiers.
- La route de Sunrise** (11 mi/17,6 km en cul de sac) : Elle est en principe ouverte de fin juin ou début juillet à fin septembre ou début octobre. Depuis la Rte 410 à 10 70 m, elle monte jusqu’à 1 951 m d’altitude. Au bout d’un mile la station de White River possède un centre d’information. Au Mi 5/8 km, embranchement pour le camping de White River. Plus loin, nous nous arrêterons devant le superbe point de vue du Lac Sunrise.
- La route de Stevens Canyon** (39 mi/62 km de Stevens Canyon Entrance à Nisqually Entrance) : Elle longe le pittoresque canyon en question en contournant le volcan par le sud. De l’entrée à Paradise, il y a 21 mi/34 km. Après avoir longé le Lac Louise, arrêtons-nous au Lac Reflection, qui offre, par beau temps, la photo la plus classique du Mont Rainier se mirant dans ses eaux. Paradise : à 1 645 m d’altitude, se trouve le principal hôtel du parc, ainsi qu’un centre d’information. Plusieurs sentiers y ont leur point de départ, mais ils sont enneigés jusqu’en juin.
- Alta Vista Trail (2,5 km) mène à un point de vue sur les Cascades incluant le mont Adams (deuxième sommet de l’Etat), le Mont St. Helens et le Mont Hood (en Oregon), distant de 160 km à vol d’oiseau. C’est généralement le matin que la visibilité est la meilleure.
- Skyline Trail (8,3 km), plus dure, monte à 2 100 m d’altitude et offre elle aussi un beau panorama.
- Ice cave Trail (10 km aller-retour).
Hébergement
Le parc compte un hôtel situé idéalement à Paradise, le Paradise Inn (117 chambres, restaurant, bar, boutique), ouvert de fin mai à début octobre, et une petite auberge ouverte toute l’année à Longmire près de l’entrée Sud-Ouest la National Park Inn (25 chambres, restaurant, bar, boutique), ouverte toute l’année.
Camping
Les campings du parc ont eau et toilettes, mais aucun n’a de branchements ou de douches (les seules douches sont au visitor center de Paradise).
Le ramassage de bois est interdit à l’intérieur du parc, mais on peut en acheter dans les principaux campings où amener son fagot.
- Ohanapecosh (alt. 582 m) : situé à l’angle sud-est du parc, sur la Rte 123 à 11 mi/17,5 km de Packwood, c’est le plus grand (208 emplacements). Ouvert de fin mai à fin octobre. Station de vidange.
- White River (alt. 1 338 m) : au nord-est du parc, à 8 km de l’entrée ouest de White River ; ouvert de fin juin à fin septembre.
- Sunshine Point (alt. 600 m) : situé près de l’entrée de Nisqually, au sud-ouest du parc, c’est le seul camping ouvert toute l’année, mais il n’a que 18 emplacements. Cougar Rock (alt. 967 m) : au sud-ouest du parc à 3,7 km au nord de Longmire. 200 sites ouverts de fin mai à mi-octobre. Station de vidange.
- Ipsut Creek (alt. 700 m) : à 5,3 mi/8,5 km de l’entrée de Carbon River au nord-ouest du parc. Ouvert de mai à octobre.
En dehors du parc, camping avec branchements à Ashford (Mounthaven at Cedar Park, T : 360-569 2594). Campings plus primitifs dans la forêt nationale, à l’est du parc.
Alimentation en choix limité à Longmire toute l’année et à Sunrise en été. Pas de station-service à l’intérieur du parc. Douches au Jackson Visitor Center de Paradise. Laverie en dehors du parc à Ashford et à Packwood.
MONT ST. HELENS*** (Monument national)
Avant 1980, on le surnommait le "Fuji-Yama de l’Amérique" à cause de son cône parfait, et puis, le 8 mai 1980, le Mont St. Helens, un volcan endormi depuis 123 ans, explosait littéralement, envoyant à 15 000 m dans la stratosphère les 350 m supérieurs de son sommet. Ce sont plusieurs centaines de millions de tonnes de roche qui ont été ainsi soulevées, les plus lourdes retombant à proximité, les sables et la poussière étant propulsés jusqu’à 300 km de distance, tandis que la chaleur faisait fondre les glaces, créant des torrents de boues, ou lahars, qui allaient ravager les plaines des environs. Quant aux cendres, elles retombaient jusqu’à Spokane, à 480 km de là, et même au Montana. A la place de l’ancien sommet qui culminait à 2 950 m, il y avait un cratère de 500 m de large et 150 m de profondeur.
Visite du mont St. Helens
- carte-de-Mont-St-Helens
Actuellement, une bonne façon de voir le volcan est de participer à un survol en hélicoptère depuis la route 504.
Attention ! Sur une carte, faire le tour du volcan semble une formalité, mais par la route cela représente tout de même quelque 450 km, dont une bonne partie de route sinueuse, soit quasiment deux jours pour tout voir. Si l’on est limité par le temps à une journée, on choisira la route 504, qui mène aux principaux visitors centers, ainsi qu’à une superbe vue du cratère.
La Spirit Lake Memorial Highway*** (52 mi/84 km de Castle Rock à l’observatoire de Johnston Ridge) :
- Windy Ridge*** et Ape Cave** :
Harmony Viewpoint : A 4 mi/6,5 km de la jonction des routes 26 & 99. Point de vue surplombant d’environ 180 m le lac Spirit, encombré d’arbres soufflés par l’explosion.
- Windy Ridge (24,6 mi/38 km de Randle, 131 mi/210 km de Kelso). C’est le point de vue le plus spectaculaire de ce versant du volcan. Ici, à 1200 m d’altitude vous avez un panorama sur les 2 547 m du volcan et, en contrebas, sur le lac Spirit à 1 049 m.
Ape Cave : Il ne s’agit pas d’une grotte, mais du plus long tunnel de lave des Etats-Unis (3 881 m), formé il y a 1 900 ans. On peut le visiter en se munissant de lampes-torches (location sur place) et de vêtements chauds (température intérieure de l’ordre de 6 ° C.
L’ascension du volcan : Il existe de nombreux sentiers de randonnées dans le parc et l’ascension est de nouveau possible, mais un permis payant est exigé pour grimper au-dessus de 1 500 m. l’altitude actuelle du sommet est de 2 547 m. Ce n’est évidemment pas tant l’altitude, que le panorama sur le cratère, qui attire les ascensionnistes. La voie d’accès la plus populaire commence à Climbers Bivouac (camping autorisé, toilettes, mais pas d’eau), au bout de la route forestière 830, carrossable pour les voitures de tourisme. Du sommet de la Ptarmigan Trail, la vue sur le cratère est impressionnante, puisque l’à-pic est de 600 m. Il faut compter entre 7 et 12 heures pour l’aller-retour, selon sa forme, tandis que la dénivellation n’est que de 1 350 m depuis le début de la piste. Prévoir imperméable, vêtements chauds, mais aussi lunettes de soleil, nourriture et eau (pas d’eau potable en route). Attention ! Les conditions météo peuvent changer très rapidement, tandis que la neige peut dissimuler des crevasses.
NORTH CASCADES* (Parc national de)
Le parc national des Cascades du Nord a été créé afin de préserver de la destruction les magnifiques forêts et d’éviter la détérioration complète de sites dans les plus belles régions de la chaîne des Cascades. Malheureusement, ce parc n’inclut pas l’une des principales montagnes de la chaîne, le Mont Baker. Il ne présente pas non plus de véritable unité mais un ensemble de quatre régions formées de deux parcs, séparés par une aire nationale de récréation, "Ross Lake", et limité au sud par une autre aire de récréation, celle du lac Chelan. Au total cependant : 2 740 km² (dont 726 km² pour les aires nationales). La création récente de ce parc explique que le système routier ne permet d’accéder qu’aux aires de récréation et quasiment pas au parc lui-même. Seul un survol ou de longues randonnées permettront de voir tous les aspects du parc. Que cela ne vous empêche cependant pas d’emprunter la splendide route des Cascades ou de visiter le lac Chelan. C’est du très beau paysage alpin, avec des lacs aux couleurs extraordinaires.
Visite des North Cascades
- Carte-de-North-Cascade
Le circuit automobile consiste essentiellement dans le parcours de la route des Cascades du Nord (North Cascades Highway), ou route N° 20, fermée en hiver de novembre à avril en général. Elle suit l’aire de récréation du lac Ross, permet de continuer par Chelan, d’où l’on peut faire une croisière sur le lac du même nom et revenir éventuellement par le Mont Rainier : un circuit de 700 km, soit 2 ou 3 jours. En complément, une piste d’été de 40 km, Cascade River Road, permet d’accéder à 580 km de sentiers de randonnées au coeur du parc. La randonnée est l’activité essentielle qui permet d’approcher les glaciers, mais aussi la faune sauvage, qui comprend, entre autres, l’ours brun, le grizzli, les chèvres de montagne, les chevreuils et des pumas.
Le lac Chelan : C’est aussi le paradis des randonneurs. Ce lac situé à 460 m d’altitude a été agrandi par un barrage hydraulique. Sa longueur est de 80 km et sa plus grande largeur de 3,2 km. La partie la plus belle est la vallée de Stehekin, au nord, qui n’est accessible qu’à pied, en bateau ou en hydravion-taxi. Des croisières de 4 heures (aller simple) ont lieu en été depuis Chelan au sud du lac (départ 8h30, retour à Chelan à 18h, après un arrêt d’une heure et demie à Stehekin). De la vallée de Stehekin, on peut faire plusieurs très belles randonnées dans la montagne environnante ou jusqu’aux chutes de Rainbow. Il y a un bus en été, qui parcourt la seule piste de la vallée jusqu’au camping de Bridge Creek, le long de la Pacific Crest Trail. On peut également louer des chevaux depuis Stehekin.
Le Mont Baker** (Alt. 3 287 m) : Le magnifique cône presque parfait du Mont Baker, bien que non inclus officiellement dans le parc, mais dans le Mt Baker National Recreation Area (encore appelé le Mount Baker Ranger District), est cependant l’une des attractions majeures des Cascades du Nord. Son sommet est composé de deux pics séparés par le cratère Sherman ; en fait, ces deux pics ne sont que les parties les plus élevées du cratère.
Il y a deux routes d’approche de la montagne : par le sud via le lac Baker et surtout par le nord, via les 38 km de la Mt Baker Scenic Byway (Rte 542 depuis Bellingham).
Hébergement
En été, on trouve des hôtels sans aucun luxe, mais très agréables dans les 2 aires de récréation de Ross Lake et du lac Chelan, mais il est nécessaire de réserver longtemps à l’avance.
- Diablo Lake Resort :Rockport. 19 chambres.
- Ross Lake Resort Lodge : Rockport 30 chambres
- North Cascade Lodge, Stehekin. 26 chambres.
En dehors du parc, motels à Winthrop, Chelan, Sedro Wooley ; hôtels et motels à Seattle.
Camping
Plus de 36 campings dans le parc, et encore beaucoup d’autres tout autour dans les forêts nationales, mais certains d’entre eux ne sont accessibles qu’aux randonneurs. Certains de ces campings peuvent être réservés à l’avance, soit auprès du Forest Service (T : 1-877-444-6777), soit auprès des Washington State Parks (T : 1-800-452 56 87) A Ross Lake : 4 campings, dont le plus important, celui de Colonial Creek, se trouve à 40 km à l’est de Marblemount.
Au Lac Chelan : beau camping du Lake Chelan State Park, sur la route sud du lac, à 15 km de Chelan, mais il y a encore 5 campings près du lac, côté Chelan et 4 dans la vallée de Stehekin.
OLYMPIC** (Parc national)
Terre de contraste, Olympic représente quatre parcs en un, et le voyageur non averti se demande toujours ce qu’il est venu voir. Des glaciers ? Il y en a, malgré l’altitude ridicule du mont Olympus (2 428 m), c’est déjà une anomalie. Lorsqu’on saura qu’initialement le projet de parc national visait à protéger la faune, l’incertitude sera complète. Il y a en effet plusieurs aspects intéressants dans ce parc de 364 000 ha : la montagne et les glaciers, la côte, les forêts humides et la faune. Ce qui a créé l’originalité, c’est le climat. Sur la côte Ouest, il est le plus humide des États-Unis, avec plus de 3,60 m de précipitations annuelles. Sur la côte Est, il est semi-aride. Voici donc un parc difficile à apprécier. S’il fait beau, il n’est pas réellement lui-même ; s’il pleut trop, cela gâchera la visite.
- Faune : A l’origine, donc, ce parc devait protéger quelque 4 000 à 5 000 cerfs de Roosevelt ou cerfs d’Olympic, ce qui permet de voir aujourd’hui ce troupeau, le plus grand d’Amérique, toujours intact, avec des mâles pouvant atteindre les 500 kilos. On les rencontre surtout dans la partie Ouest du parc. En été, ils se réfugient dans les hauteurs. Le parc abrite encore une cinquantaine de variétés de mammifères, dont l’ours brun, le puma, la chèvre de montagne à la longue fourrure blanche et pouvant atteindre 135 kg), le chevreuil et la marmotte d’Olympic. Les bords du Pacifique servent d’abri aux otaries, aux phoques et aux oiseaux marins.
Visite du Olympic National Park
- carte-Olympic-National-Park
La route 101 contourne le parc, permettant de faire plusieurs incursions à l’intérieur, soit sur un parcours total de plus de 400 km, ce qui nécessite au moins deux jours. On peut réduire légèrement ce circuit en limitant sa visite aux deux régions les plus typiques : Hurricane Ridge et la première forêt humide de la partie Nord. Les routes ne permettant pas d’accéder aux parties centrales du parc, c’est un fois de plus les randonneurs qui trouveront le plus de joies.
- Hurricane Ridge** : Port Angeles est le point idéal de départ pour la visite du parc, puisque ici se trouve le Q.G. du parc, ainsi que le départ de plusieurs incursions automobiles dans le parc, mais la vedette est la superbe route de Hurricane Ridge menant à Obstruction Peak, à 1 966 m (40 km) et au pied de Hurricane Hill, à 1 595 m (29 km). Le nom de "Hurricane Ridge" ou "crête de l’Ouragan", est dû aux vents violents qui soufflent parfois. En route et par temps clair, vous aurez depuis Lookout Rock de magnifiques vues sur le détroit de Fuca, la chaîne des Cascades, Vancouver ainsi que sur les monts Olympic.
- La région de Lake Crescent* : Contournant le parc par l’ouest, via la route 101, nous rencontrons le Lac Sutherland, puis le grand Lac Crescent, aux eaux d’un vert profond. 2,7 km après le lac, une route de 23 km mène aux sources chaudes de Soleduk (écrit aussi Sol Duc). C’est le point de départ de randonnées dans le bassin des Sept-Lacs (Seven Lakes Basin), d’où l’on peut même rejoindre en deux jours la forêt humide de Hoh par la rivière du même nom.
- Hoh Rain Forest** : Revenons sur la route 101 ; il faut maintenant parcourir 90 km avant d’arriver à la première forêt humide, Hoh Rain Forest, par la route de Hoh River. C’est un merveilleux exemple de ce type de jungle tempérée, avec 70 variétés de mousses et d’immenses épicéas de Sitka. Un sentier a été aménagé, qu’il ne faut pas manquer de parcourir, vous aurez peut-être ainsi la chance de voir des cerfs. D’ici, vous avez le choix de revenir sur vos pas, si votre destination est Seattle, ou de continuer le tour du parc si vous vous dirigez vers la côte de l’Oregon.
- Kalaloch* : La côte est le site de trois réserves indiennes, mais les Indiens pêcheurs sont complètement assimilés à la civilisation américaine. La route 101 passe au sud de l’un de ces villages et longe le Pacifique d’assez près pendant une dizaine de kilomètres. A Kalaloch, plusieurs sentiers rejoignent la plage, qui attire les amateurs de coquillages en saison. Les plus recherchés sont les clams rasoirs (rasor clams), dont le ramassage est contingenté.
- Le lac Quinault* : C’est toujours la 101 qui vous mène à ce joli lac situé en dehors du parc et où sont établis plusieurs campings. Dans la forêt humide, on rencontre les plus grands sapins de Douglas, comme "Big Acre", de 83 m de haut et 2,40 m de diamètre. D’ici, possibilité de rejoindre la côte de l’Oregon ou de remonter sur Port Angeles (par l’est du parc) ou Seattle.
Hébergement
Le long de la route 101 qui longe le parc, il y a quelques hôtels fort agréables et fort prisés (à réserver donc au tout début de l’année au plus tard) :
- Kalaloch Lodge, Rte 101,Forks, . Ouvert toute l’année. A 36 mi/ 51,6 km au sud de Forks, motel confortable avec restaurant en bord de mer.
- Log Cabin Resort : 3183 East Beach Rd. Ouvert de mi-avril à début octobre. Sur la rive nord-est du lac Crescent, à 17 mi/ 27,2 km à l’ouest de Port Angleles et à 3 mi/ 4,8 km de la route 101. La plupart des chambres ont salle d’eau complète. Restaurant avec vue sur le lac.
- Lake Crescent Lodge. Ouvert de fin avril à fin octobre. A 21 mi/33,6 km à l’ouest de Port Angeles, cadre agréable au bord du lac du même nom. Ambiance rétro. Restaurant.
- Sole Duc Hot Springs Resort, Ouvert de mi-mai à fin septembre. A 40 mi/ 64 km à l’ouest de Port Angeles dans la vallée de la Sol Duc. 32 bungalows avec salle d’eau ; piscine et trois piscines naturelles d’eau chaude.
- Lake Quinault Lodge, . En bord de lac également ; ouvert toute l’année, restaurant, piscine couverte, location de canots.
Camping
Il y en a 17 dans le parc (dont 11 acceptent les motorhomes - taille idéale : 21 pieds), équipés de toilettes et eau, mais aucun n’a de branchements, de douches ou de laverie. Les principaux se trouvent à Lake Crescent, Sol Duc, Hoh, Kalaloch, Queets, Heart of the Hills. Les campings de Hoh, Sol Duc, Fairholm et Kalaloch ont une station de vidange. On peut ramasser du bois.
Sur le lac Crescent à la limite du parc, le Log Cabin Resort possède un camping de 40 emplacements pour motorhomes avec tous les branchements, ouvert de mai à septembre (T : 928 32 45)
En dehors du parc, campings primitifs dans la forêt nationale adjacente ; campings commerciaux avec branchements au lac Quinault et à Port Angeles (KOA notamment).