Voyage de Los Angeles à San Francisco

SANTA BARBARA

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C’est l’une des villes de Californie les plus appréciées des Américains qui lui trouvent un charme espagnol. Tout est relatif, mais c’est effectivement une ville très agréable où règne une atmosphère de vacances. C’est le père Junipero Serra, qui fonda le presidio militaire en 1782, et une mission trois ans plus tard. La ville demeura espagnole jusqu’en 1822. Elle demeura engourdie jusqu’à la fin du XIXe s., lorsque des riches Yankees de la côte est, attirés par la réputation de riviera ensoleillée, commencèrent à y venir passer des vacances. Aujourd’hui encore, bon nombre de célébrités hollywoodiennes possèdent des demeures autour de Santa Barbara.

La Mission * (E. Los Olivos et Upper Laguna).
Surnommée la "reine des missions", celle de Santa Barbara, la 10ème de celles fondées par les franciscains, est en fait la plus imposante, mais ce n’est pas la plus belle. Fondée en 1786, l’église actuelle fut achevée en 1820.

Le Jardin Botanique* (1212 Mission Canyon Rd).
A 2 km au nord de la mission ce jardin permet une fort agréable promenade : recouvrant 26 ha, quelque 8 km de sentiers y ont été aménagés

La Vieille Ville***
Elle ressemble bien à l’idée que l’on peut s’en faire. Il y règne une atmosphère de farniente, d’oisiveté, née de la vie facile que semblent y mener les habitants. On y remarque particulièrement :: Le Palais de Justice (County Courthouse - 1100 Anacapa St.) : Il charme par son architecture hispano-mauresque d’opérette, mais ne date que de 1929. Du haut de sa tour de 24 m, on découvre une vue d’ensemble sur la ville.
- El Cuartel (122 E. Canon Perdido St.) : C’est à peu près tout ce qui subsiste de l’ancien Presidio Real original (la forteresse royale), fondé en 1782.
- Santa Barbara Historical Museum* (136 E. De la Guerra St) : le Musée Historique de la vieille Santa Barbara conserve de belles pièces coloniales, ainsi que des selles western.

Scenic Drive**
Voilà pour une première demi-journée de promenade. En voiture vous pouvez suivre la route fléchée "Scenic Drive" qui suit la route côtière et la plage jusqu’à Hope Ranch, quartier super luxueux. Au retour vous pouvez voir près de la plage une réserve d’oiseaux aquatiques, l’Andree Clarck Bird Refuge (1400 E. Cabrillo Blvd ; gratuit).

Santa Barbara Museum of Art** (1130 State St.)
Bon musée régional comprenant des collections d’Art oriental et d’antiquités.

Les baleines
Santa Barbara est l’un des nombreux points de départ pour des mini-croisières d’observation de baleines. Rappelons que de mi-décembre à fin avril quelque 25 000 baleines grises longent la côté dans leur migration entre les eaux froides de l’Alaska et la Basse Californie. Elles remontent à partir de mai et c’est entre mai et décembre que les possibilités d’observation sont les meilleures. Les baleines bleues, quant à elles, peuvent être observées de mai à septembre. Le musée d’Histoire naturelle, ainsi que des compagnies privées, organisent des sorties en bateau (de 2 heures 30), voire en hélicoptère de juillet à septembre. On a parfois d’occasion, lors de ces sorties en mer, d’observer d’autres espèces de mammifères marins, comme la baleine à bosse, le dauphin, le marsouin, l’orque, voire des phoques ou des otaries. Départ depuis Sea Landing.

Les excursions organisées BACK ROADS à Santa Barbara :

Santa Barbara est l’un des meilleurs endroits aux USA pour découvrir les géants des mers, baleines bleues, grises et sauteuses (“humpbacks”).
Le « Santa Barbara Channel » abrite plus de 30 espèces différentes de mammifères marins qu’il est possible de venir admirer à longueur d’année.
Cette particularité fait de Santa Barbara l’un des meilleurs endroits aux USA pour explorer cette abondance de faune marine.
Apprenez davantage sur les géants des mers, baleines bleues, grises et “humpbacks” viennent s’alimenter à longueur d’année dans ces eaux riches en krill, au large des Channel Islands.

Durée : de 2h30 à 4h (en anglais)

PISMO BEACH

Charmante plage à 11 mi/17,6 km au sud de San Luis de Obispo, qui pourra vous servir d’étape. Autrefois ses plages étaient riches en clams (Pismo clams), sortes de grosses palourdes, mais le ramassage à outrance à réduit leur nombre et a obligé d’imposer des restrictions de ramassage. Il faut désormais un permis et le ramassage est limité à 10 (taille minimum : 11,5 cm de diamètre). Enfin, comme la péninsule de Monterey, Pismo Beach est un lieu de rassemblement hivernal des papillons Monarch.

SAN LUIS OBISPO

Exactement à mi-chemin entre Los Angeles et San Francisco (300 km), c’est une ville universitaire pleine de cette atmosphère "relax" que l’on trouve à Santa Barbara et qui fait qu’on se sent tout de suite à l’aise et qu’on a envie d’y faire étape. Cal Poly est l’université polytechnique de Californie et accueille 17 000 étudiants du monde entier.

Le centre historique est la Plaza, face à la mission San Luis Obispo de Tolosa de 1772. Elle porte le nom de Saint-Louis de Toulouse, évêque au XIVème s. Enfin, signalons le jeudi soir (de 18 h 30 à 21 h), un sympathique marché de fruits et légumes à l’européenne qui se tient sur la rue Higuera entre les rues Osos et Broad.

MORRO BAY

Morro Bay est à la fois le nom d’une baie et celui d’un village de pêcheurs à 14 mi/22,5 km au nord de San Luis de Obispo. Etape agréable (si votre hôtel ne fait pas face à la raffinerie), le site est beau et l’on peut voir depuis le Morro Bay State Park (grâce à des jumelles ou des télescopes) de nombreux animaux marins, mais aussi ailés. Février et mars sont les mois propices à l’observation de la nidification des grands hérons bleus, des hérons couronnés, des aigrettes et d’autres oiseaux dans la Great Blue Heron Rookery. En janvier, commence la parade nuptiale des grands hérons bleus. Le mâle vainqueur construira lui-même le nid de sa future progéniture.
On peut également faire de belles promenades le long de la mer. En hiver, ce sont des milliers de papillons monarques (ces gros papillons orange et noir) qui migrent ici de même que dans le Oro State Park.

HEARST CASTLE

Si pour vous, l’Amérique c’est le pays des milliardaires originaux qui achètent le monde à coups de dollars, ne manquez surtout pas ce château situé sur la commune de San Simeon (42 mi/67 km au N. de San Luis Obispo). Vous serez comblé, car Hearst, le Citizen Kane d’Orson Welles, était de ces hommes qui, partis de rien, se retrouvaient un jour à la tête d’un empire et réalisaient sans le moindre sens de la mesure leurs rêves les plus fous.

Le château de la "Colline enchantée" (Cuesta Encantada) devait être accompagné de 3 pavillons d’hôtes comprenant 46 pièces au total. Mais lorsque Hearst mourut, en 1951, le tout n’était pas achevé.
Lors d’un voyage en Europe, Hearst avait découvert l’art. Très impressionné, il put, grâce à ses millions, acheter d’authentiques mosaïques de Pompei qu’il posa à la place du traditionnel paillasson ; pour essuyer ses pieds, ce n’est peut-être pas l’idéal, mais ça impressionne le visiteur (même américain, qui n’en revient pas de "ce que l’on peut faire avec le plastique"). De même, il acheta des chœurs d’église avec leurs stalles pour décorer sa salle à manger.
Ceci-dit, cela vaut le spectacle ; vous n’avez sans doute jamais vu de piscines aussi extraordinaires que la piscine de Neptune extérieure (de marbre) ou Romaine intérieure (de mosaïques vénitiennes revêtue). La Casa Grande (le château proprement dit), où Hearst et sa star de compagne, Marion Davies, accueillirent les grands de ce monde, est un véritable musée, où l’art de bon goût côtoie sans complexe celui du mauvais au long de ses 165 pièces.

Visite
La visite du château se fait par 4 types de tours guidés, qu’il convient de réserver plusieurs jours à l’avance (http://hearst.reserveamerica.com/). Chaque tour dure 1 h 45 et visite une partie seulement du château, mais tous visitent la piscine de Neptune et la piscine romaine. Le Grand Rooms Tour est le plus conseillé pour une première visite. Outre les piscines, vous y verrez la Casa del Sol (le pavillon d’hôtes), l’esplanade, les jardins et 5 pièces principales de la Casa Grande, dont la salle d’assemblée et le théâtre. Si le tour démarre en autocar, il implique 800 m de marche et au moins 150 marches à monter au total.
A ces tours, on a ajouté un visitor center où est projeté un film spectaculaire de 40 min. sur écran géant sur l’aventure de Hearst, réalisé par le National Geographic. Il existe un tarif combiné tour + film plus avantageux que l’achat séparé. C’est de ce visitor center que partent les tours. On trouve aussi à s’y restaurer.

BIG SUR (la côte de)

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Sur la route côtière, au sud de Monterey, la côte de Big Sur est la plus spectaculaire de la Californie du Sud, mais pour celui qui connaît les côtes méditerranéennes, il n’y a pas « photo ». Cela dit, soyons indulgent ; si la beauté sauvage est loin d’atteindre celle de la Californie du Nord ou mieux de l’Oregon, il faut convenir que le climat est plus hospitalier. C’est sans doute la raison, qui attira quelques personnalités de l’écrivain Henry Miller (il y écrivit Big Sur et les Ornages de Jérôme Bosch) à Orson Welles ou à la sculpturale Rita Hayworth.
Ne cherchez pas le village de Big Sur, il n’existe pas, vous ne verrez que quelques commerces et villas éparpillés sur plusieurs kilomètres, avec un centre commercial situé entre deux petites rivières, la Little Sur au nord et la Big Sur plus au sud.

La côte de Big Sur commence au sud de Carmel et nous prendrons comme point de départ la réserve de Point Lobos. Pourquoi dans ce sens ? Parce qu’en descendant la côte vers les sud, nous roulons côté mer.

Mi 3/km 5 : Garrapata State Park : plage.

Mi 7,5 /km 12 : Pont de Bixby Creek : ce pont de 215 m construit en 1932 offre une vue impressionnante sur la mer

Mi 19/km 30 : le Pfeiffer Big Sur State Park**, situé sur la rivière Big Sur, est l’un des endroits les plus agréables de la route pour faire étape (accès payant). Ces 330 hectares ombragés de redwoods, offrent l’un des campings les plus agréables de la région, ainsi qu’un lodge de charme, le Big Sur Lodge, construit dans les années 1930.
Possibilité de belles randonnées. Si vous vous vous enfoncez dans les montagnes de l’est vous parvenez dans le parc naturel de Ventana (Ventana Wilderness) : c’est sauvage et âpre. Ah, au fait, c’est là que l’on trouve la plus grande densité de pumas des Etats-Unis. Bonne chance !

Mi 20,5/km 32 : Plage de Pfeiffer.

Mi 22/ km 35 : Restaurant Nepenthe, qui jouit d’une vue superbe sur la mer. Allez y prendre l’appéritif ; le soir cette côte sans relief de couleur dans la journée prend alors une toute autre allure. Lorsque vous saurez qu’Orson Welles l’acheta pour les beaux yeux de la divine Rita Hayworth, vous vous demanderez pourquoi la belle ne consentit jamais à s’y rendre. Peut-être avait-elle peur que la carrure de son géant lui cache le panorama.

Mi 25/km 40 : Henry Miller Library. Les amateurs de la littérature de Miller feront une halte dans ce mini-musée-librairie, qui conserve la plus grande partie de la bibliothèque de l’écrivain. (11h-17h. F. lun. Payant).

Mi 30/km 48 : Julia Pfeiffer Burns State Park  : parc de 730 hectares offrant lui aussi quelques possibilités de promenades, dont un sentier de 800 m aboutissant à un beau panorama marin (Waterfall Trail).

La route va continuer sans autre point d’intérêt notable pendant une cinquantaine de kilomètres avant de déboucher dans une région plus hospitalière un peu avant le château de Hearst.

MONTEREY (Péninsule de)

La péninsule de Monterey est l’un des endroits les plus charmants de la côte californienne et un paradis pour les oisifs. Les plus aisés d’entre eux se sont du reste accaparés toute une partie de cette péninsule. Le ravissant paysage de cette péninsule a toujours attiré les artistes. Au siècle dernier, c’était les écrivains comme Robert Louis Stevenson ou Jack London ; aujourd’hui, ce sont les vedettes de cinéma.

Monterey

A près de 200 km au sud de San Francisco, Monterey est la ville chérie de John Steinbeck qui y a situé plusieurs de ses nouvelles (particulièrement, La rue de la sardine et Sweet Thursday). Mais les temps ont bien changé depuis les années 30, et pour revivre le passé, il faut vraiment beaucoup d’imagination.
L’Office du Tourisme s’efforce de rappeler au visiteur qu’en 1770 fut établi ici le premier presidio de Californie par Gaspar de Portola, assisté des jésuites Junipero Serra et Juan Crespi, qu’on y vit naître le premier journal californien et que la ville joua un rôle important dans l’indépendance de l’Etat. En 1849 en effet, y fut élaborée la première constitution de l’Etat de Californie. Ceci dit, aussitôt l’or découvert, la ville sombra dans l’oubli. il fallut attendre 1880 et l’ouverture du luxueux hôtel del Monte, pour que la ville renaisse grâce aux riches touristes. L’hôtel est devenue une école de marine, mais les touristes continuent d’affluer.
Ceux qui privilégient l’aspect historique risquent d’être déçus. A nous de faire un pèlerinage aux sources steinbeckiennes. Une fois résolu le casse-tête du parking, tant cette ville est devenue touristique, le pèlerin se rend sur les lieux qui ont inspiré à Steinbeck, la Cannery Row (la Rue de la Sardine) : Autrefois, la pêche à la sardine était l’activité principale et les conserveries s’échelonnaient le long du port. Elles furent abandonnées dans les années 40. Aujourd’hui, on les a transformées en attraction touristique avec force boutiques et restaurants. Vous chercherez en vain l’atmosphère des romans de Steinbeck, mais vous ne serez plus obligés de vous pincer le nez.
L’autre centre touristique c’est Fisherman’s Wharf*. L’ancien port de pêche, aujourd’hui essentiellement marina de plaisance, où les touristes font une cure de fruits de mer en regardant les phoques attirés par les poissons qu’on leur lance.
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Monterey State Historic Park*
Le visitor center distribue un plan du Monterey historique permettant de voir quelques bâtiments vieillissimes (remontant au moins au siècle dernier, c’est dire !). Si vous comprenez la langue de Steinbeck, vous pourrez suivre une promenade guidée dans ces vieux bâtiments.

Le Monterey Bay Aquarium*,
En fait, le plus intéressant, en ville aujourd’hui, c’est l’un des grands aquariums des États-Unis, situé directement en bord de mer. Plus de 100 variétés d’animaux marins exposées, du requin à la pieuvre géante, en passant par phoques, loutres et méduses rouges. On en reste médusé.

Maritime Museum*
(5 Custom House Plaza)
Pour les amateurs de maquettes de bateaux et de l’histoire de la marine. Un petit film d’un quart d’heure est consacré à l’histoire de la région.

Le Festival de Jazz**
Créé en 1957, le festival de jazz de Monterey s’est hissé au niveau des meilleurs festivals de ce type, au même titre que Newport ; Il consiste en 12 concerts répartis sur 3 jours à la mi-septembre.

Pacific Grove

Contigu à Monterey, cette commune résidentielle est l’accès nord de la route paysager « 17 Mile Drive ». Les riches Américains ne sont pas les seuls à venir apprécier la douceur hivernale de Pacific Grove. En octobre a lieu une migration curieuse, celle des grands papillons monarques (de couleur jaune et marron), qui choisissent de venir passer l’hiver dans certains pins de Pacific Grove. C’est par millions que ces papillons s’abattent sur les arbres (vous risquez une amende de 500 $ ou 6 mois de prison si vous essayez d’en capturer un).

La 17 Mile Drive

C’est la route côtière entre Monterey et Carmel, mais c’est une route privée, et vous aurez la désagréable surprise que l’on vous demande une bonne dizaine de dollars par voiture (!) pour avoir le droit de passer (certains restaurants de Pebble Beach vous les remboursent, si vous mangez chez eux). Les vues offertes sur la côte sont belles et rappellent, en plus chaud, certains coins de Bretagne ; le péage est destiné à sauvegarder l’intimité de nombreuses personnalités célèbres qui y ont choisi une résidence, telles Clint Eastwood (qui fut le maire de Carmel dans les années 80), Kim Novak ou Henry Miller. A défaut de les rencontrer, vous aurez plus de chance sans doute de voir les autres vedettes de cette côte : les éléphants de mer qui se vautrent sur les plages et les îlots proches.
Motards, attention ! La 17 Mile Drive est interdite aux motos

Carmel

Carmel est à 5 mi/8 km par la route directe depuis Monterey. Monterey, c’est une ville fouillis ; Carmel, c’est le petit paradis ordonné. La plus délicieuse station de la côte californienne et l’une des plus jolies plages (encore que l’eau soit froide). L’endroit idéal pour passer quelques jours de repos, à condition de ne pas être fauché. Pas d’enseignes de mauvais goût, pas de hauts immeubles, pas de station-service ou de supermarché voyants. Tout très discret. Bref, une ville d’opérette où tout est harmonieux (un peu trop diront certains). Effectivement, c’est une autre Amérique, celle des Américains assez aisés pour s’offrir même la beauté. De plus, on y trouve pour séjourner d’adorables pensions (mais très chères) - alors que demander de plus ? Bien sûr, il y a deux visites à ne pas négliger : la mission et la réserve de Point Lobos, mais on passera surtout du temps à se laisser vivre à la terrasse d’un café ou à flâner d’une galerie d’art à une autre. L’image d’une Californie privilégiée…
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Mission San Carlos Borromeo del Carmelo**
(3080 Rio Rd. Payant).
Ne manquez pas de visiter la jolie mission de Carmel fondée par Junipero Serra en 1770 et où il repose. Elle est dédiée au cardinal Saint-Charles Borromée. La mission demeura le quartier général des jésuites jusqu’en 1803, date à laquelle elle fut supplantée par celle de Santa Barbara. Jean XXIII l’éleva au rang de basilique mineure. On y visitera l’église de 1794, la résidence des Pères jésuites (avec une riche bibliothèque), ainsi que les jardins.

Point Lobos
A 3 mi/5 km au sud de Carmel, Point Lobos est une réserve naturelle de l’État, où, dans un beau paysage marin de récifs et grâce à 16 km de sentiers, on peut observer des phoques, des loutres de mer et des colonies d’otaries, que les Espagnols appellent loups de mer (lobos) et les Américains "lions de mer" (sea lions) ; des jumelles ou des téléobjectifs seront utiles pour les observer. En novembre, c’est la baleine grise qui passe au large. Pourquoi une telle variété de faune marine ? Parce qu’à moins d’un kilomètre de la côte se trouve une fosse marine de quelque 3 000 m qui suscite des remontées de courants froids chargés de masses de plancton.
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SANTA CRUZ

Entre San Francisco et Monterey, cette ville est un centre de pêche et agricole important (importantes cultures de bégonias).
Le centre de la ville est Pacific Avenue, l’artère commerciale principale, mais c’est plutôt sa Boardwalk, immense parc d’amusement le long de la côte, qui va attirer les familles.
A 6,3 mi/10 km au nord sur Graham Hill à Felton, vous pouvez faire une cure d’escarbilles au courd d’une promenade d’une heure et demie à travers une forêt de redwoods dans un vieux train, le Roaring Camp and Big Trees Narrow Gauge Railroad*.

SAN JOSE

A 50 mi/80 km au sud de San Francisco, San Jose est située au fond de la baie de San Francisco. Elle se considère comme la capitale de la Silicon Valley, mais se trouve également au centre d’une région viticole avec une cinquantaine de vignobles.

Winchester Mystery House*
(525 S. Winchester Blvd, près de la jonction des autoroutes 280 et 880 ; durée du tour 1 heure ; payant).
La veuve du constructeur de carabines, s’étant vu prédire qu’elle mourrait quand elle cesserait de construire, a fait travailler des charpentiers jusqu’à sa mort (car elle mourut quand même), ce qui a donné une maison pour le moins bizarre, du style maison hantée avec 160 pièces. La visite est très coûteuse.

The Tech Museum of Innovation** (140 W. San Carlos St. Payant)
Si vos enfants parlent l’anglais, ils apprécieront ce musée consacré aux hautes technologies et bourré d’expositions interactives.

Raging Waters* (Lake Cunningham Regional Park ;)
Parc d’attractions aquatiques avec toboggans aquatiques géants, et piscines avec vagues artificielles. Pour les amateurs de sensations très fortes, je conseille Drop Zone Stunt Tower ou encore Plummet avec une chute de 68 m à 99 km/h (soit en 3 longues, très longues secondes).

Le marché aux puces (Flea Market) : Il serait le plus important marché aux puces du pays : 48 ha occupés par 2700 étals.

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